Language: ns
1926-1932
BAR; E 1050.3 (A), 1995/495, Bd. 1-2, Finanzkommission Nationalrat
Information Independent Commission of Experts Switzerland-Second World War (ICE) (UEK)
Info UEK/CIE/ICE ( deutsch français italiano english):
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Sitzung vom 20.1.1926
Dollfus wird offensichtlich im Dezember 1926 in die Finanzkommission gewählt. Seine erste Sitzung im Rahmen der Finanzkommission findet somit am 20.1.1927 statt.

Sitzung vom 20.12.1928
Dollfus wird von NR von Streng zur Wahl in die Finanzdelegation der FiKo vorgeschlagen. NR Joss reagiert auf diese Forderung, indem er anmerkt, es sei nicht angebracht, dass sich ein Bundesrat in die Wahlgeschäfte von parlamentarischen Kommissionen einmische. [Er meint damit offensichtlich, dass die Kandidatur Dollfus auf Druck oder Anregung eines Bundesrates erfolgte.] Von Streng antwortet, dass sein Vorschlag autonom erfolgte; allerdings wäre es verständlich, wenn sich der Finanzminister einmischen würde, weil die Sozialdemokraten (gegen welche sich die Kandidatur Dollfus richtet) sich gegen das Budget ausgesprochen hätten. Auch NR Maunoir (?) antwortet, von keiner Seite beeinflusst worden zu sein. In der Abstimmung unterliegt Dollfus mit 3:6 Stimmen gegen NR Klöti (SP).

Sitzung vom 27.11.1929 (Bd. 1, S. 304)
Dollfus setzt sich im Rahmen der Debatten um den Voranschlag für das Jahr 1930 für die Förderungskredite für die italienische (d.h. Tessiner) Sprache und Kultur ein.

Sitzung vom 19.11.1930 [Protokoll, S. 446 ff]

Traktandum: Begründung des Voranschlages für 1931 und der Botschaft betreffend Bewilligung eines ausserordentlichen Kredites zur Beschaffung von Kriegsmaterial.
Im Rahmen einer Intervention spricht Dollfus auch als Mitglied der Commission des économies militaires [Militärersparniskommission]. Dabei vertritt Dollfus einen moderaten Sparkurs: «La commission à l'impression qu'avec l'organisation militaire actuelle, il ne sera guère possible de réaliser des économies considérables. [...] La commission estime que le Conseil fédéral devrait, dès ce moment, étudier si en modifiant l'organisation militaire, on ne pourrait pas avoir und armée tout aussi bonne, tout aussi "kriegsbereit" que l'armée actuelle sans augmenter les frais portés au budget. J'éprouve une certaine satisfaction personelle en constatant le resultant auquel arrivera la commission des économies, car c'est le point de vue que je continue à défendre déjà depuis 8 ans: mieux vaut une armée plus petite, si elle est meileure.» Anschliessend findet Dollfus auch, dass auch weniger Rekruten, dafür tauglichere, grundsätzlich sinnvoll wären.

Sitzung vom 2.12.1930

Traktandum: Voranschlag für das Jahr 1931
Subventionsgesuch des Arbeitermusikerverbandes: In Opposition zu seinen bürgerlichen Kollegen spricht sich Dollfus für eine 1000fränkige Subvention aus: «M. Dollfus comprend le sentiment d'amertume éprouvé par les commissaires socialistes lorsqu'ils constatent que la question de principe est soulevée quand il s'agit d'organisation ouvrières. Aussi suis-je prêt à voter une subvention de 1'000 francs pour la Fédération des musique ouvrières.»


Sitzung vom 12.5.1931
Traktandum: Staatsrechnung für das Jahr 1930
Dollfus bricht eine Lanze für die Kulturförderung: «M. Dollfus estime que la Confédération se doit d'encourager les beaux-arts, c'est là une mission noble et élevée. Il n'y a aucun inconvénient à ce que les fonds en question soient alimentés par les excédents des rubriques correspondantes.»

Sitzung vom 24.11.1931
Traktandum: Voranschlag für das Jahr 1932
Im Rahmen der Debatte meldet sich Dollfus u.a. folgendermassen zu Wort: «M. Dollfus signale l'augmentation du crédit III.A.6. Représentants et commissaires fédéraux, qui passe de 100'000 à 220'000 francs en prévision de la participation à la Conférence du désarmement, à Genève. On envisage l'envoi d'une dizaine de personnes, soit de 3-4 parlemantaires, de quelques fonctionnaires fédéraux et d'experts militaires. Les frais de cette délégation (indemnités, autos, hôtels, etc.) sont évalués à 1'000 francs par jour. Si la Conférence devaoit durer 4 mois, on arriverait à une dépense de 120'000 francs, soit celle qui est inscrite dans le budget.» In der Folge wird der Kredit von 220'000 auf 160'000 reduziert (50 Prozent).

Sitzung vom 22.12.1931

Dollfus wird (einstimmig) zum Präsidenten der Finanzkommission gewählt. In der gleichen Sitzung wird Dollfus gemeinsam mit Vizepräsident der FiKO Schmid und NR Fazan in dieFinanzdelegation gewählt.

Sitzung vom 21.11.1932
Im Rahmen der Debatte zum Budget für das Jahr 1933 gibt Dollfus ein etwas allgemeineres wirtschaftspolitisches Statement, welches möglicherweise seinem wirtschaftspolitischen Credo entspricht: «J'ai l'impression que le jour où le Conseil fédéral se montrera plus dur, l'initiative privée aussumera une partie de la tâche qu'on laisse maintenant à la charge de la Confédération. Voyez ce qui se passe en Angleterre dans le domaine des hôpitaux: ils doivent en bonne partie leur existence à l'initiative privée. Pour le Concilium bibliographicum, on pourra certainement trouver par voie de circulaire les 5000 francs qui lui manquent. On a tellement pris l'habitude de considérer la Confédération comme bonne vache à lait qu'on se croit dispensé d'appuyer ses efforts.»

Sitzung vom 21.12.1932
Dies ist die letzte Fiko-Sitzung von Dollfus. Er scheidet wegen der Amtszeitbeschränkung aus. Ebenfalls scheidet er damit aus der Finanzdelegation aus. Er ist im Verlaufe seiner weiteren parlamentarischen Karriere nie mehr in der Finanzkommission tätig.
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